mardi 30 août 2011

Nous, on n'a pas de soleil mais on a du Welsh Rarebit!

L'été aura été rude dans le Nord. Oui, je dis bien rude, car on a eu l'impression d'avoir des mois d'automne et non des mois d'été... au moins, nous, on n'a pas eu la canicule! Bref, tout ça pour dire que dans le Nord, pour se réchauffer, on mange de bons plats chauds et l'une des spécialités incontournables du Nord pleine de calories en veux-tu en voilà, c'est le Welsh Rarebit! C'est très bon, mais absolument pas diététique!

Le Welsh se prépare de préférence dans un plat à gratin pas trop grand ou des assiettes qui passent au four.

Pour 2 personnes
Préchauffer le four à 180° (thermostat 6)

Ingrédients 

  • 2 tranches de pain de mie complet ou une tranche de pain grillée
  • 2 tranches de jambon blanc découenné et dégraissé 
  • 400 gr de cheddar
  • 1 cuillère à café de moutarde
  • 2 œufs
  • 8cl de bière blonde (de préférence du Nord ou belge bien sûr !)

Préparation

  1. Disposez dans vos plats (ou assiettes) une tranche de pain de mie et une tranche de jambon l’un sur l’autre pour chaque personne.
  2. Dans une casserole, coupez le cheddar en dés et faites-le chauffer à feu très doux, tout en remuant avec une cuillère en bois. Il est très important de toujours remuer.
  3. Quand la consistance est visqueuse et homogène, ajoutez la bière tout en remuant, jusqu’à ce que les deux soient bien mélangés.
  4. Ajoutez la moutarde et remuez bien, encore.
  5. Versez ensuite le mélange dans les plats, de façon homogène sur les deux tranches afin de les couvrir complètement. Puis, enfournez les plats au four et laisse dorer 10-15 minutes (suivant la puissance de votre four).
  6. Pendant ce temps, faites cuire les deux œufs au plat.
  7. Une fois le plat ressorti du four, disposez un œuf sur chaque plat. 

C’est prêt ! À manger avec des frites (belges !), de la salade, et accompagner de bière du Nord !

Bon appétit!

Tsuhya

lundi 8 août 2011

Le voisin - Tatiana de Rosnay

Ayant beaucoup aimé Elle s'appelait Sarah, je souhaitais lire à nouveau un roman de Tatiana de Rosnay. Sur ma to-read list, j'avais entre autres Le voisin, parce que c'est un livre dont le thème me parlait beaucoup... vraiment beaucoup! Aujourd'hui, j'aimerais vous présenter ce livre, qui ne dément pas le talent de son auteure...

Pour la présentation de l'auteure, je vous invite à cliquer ici.

Ce roman a été publié pour la première fois aux éditions Plon, en 2000. Celui que j'ai lu est la réédition faite par les éditions Héloise d'Ormesson en 2010, paru aussi dans le Livre de Poche en 2011. 

Résumé

Un mari souvent absent. Un métier qui ne l'épanouit guère. Un quotidien banal. Colombe Barou est une femme sans histoires. Comment imaginer ce qui l'attend dans le charmant appartement où elle vient d'emménager ? À l'étage supérieur, un inconnu lui a déclaré la guerre. Seule l'épaisseur d'un plancher la sépare désormais de son pire ennemi... Quel prix est-elle prête à payer pour retrouver sommeil et sérénité ?

Des voisins pénibles, bruyants et qui ont l'air de prendre un malin plaisir à vous rendre chèvre, tout le monde a connu ça au moins une fois dans sa vie... 
Pour ne citer que mon cas, j'ai quitté mon ancien appartement il y a quelques mois, soulagée de ne plus avoir à supporter les fêtards du dessus... c'était sans compter nos nouveaux voisins, qui les ont remplacés au pied levé! Quand un voisin vous pourrit la vie, et que même après l'avoir averti gentiment une fois, deux fois, trois fois, et que la situation ne change pas, vous êtes sur les nerfs, ayant l'impression de ne plus être chez vous, à force de subir les nuisances du locataire du dessus. 
Tatiana de Rosnay, elle aussi, a connu ce poison de la vie quotidienne, avec un voisin, qu'elle nomme "Monsieur X.", qui pendant un an, l'a empêchée de dormir. Et de là est partie l'idée de son roman.

J'ai beaucoup aimé ce livre, tellement que je l'ai fini en quelques heures! L'auteure est surprenante, quand on pense qu'elle va prendre tel chemin pour résoudre telle situation, et bien non, elle fait tout autre chose. C'est inattendu et c'est agréable de se laisser surprendre comme ça. 
On entre complètement dans l'histoire, à suivre Colombe maudire les Rolling Stones à 3h du mat, passer ses nuits hors de son lit pour avoir la paix, avoir l'impression de devenir folle car elle est la seule cible de ce harcèlement sonore, et surtout essayer de se battre contre ce voisin vicelard et invisible que tout le monde semble pourtant apprécier dans le voisinage... 
Si je devais mettre des bémols, ce serait de dire que nous sommes dans un roman, et que dans la vraie vie, fort heureusement au passage, ça ne se passerait pas comme ça pour régler un tel litige. Mais c'est tout ce que j'ai à dire de "négatif".
Je ne veux pas trop en dire car je crois que les effets de l'auteure vous seront d'autant plus appréciables si vous les découvrez par vous-mêmes. 
En tout cas, c'est un très bon roman, vraiment agréable à lire, que ce soit au niveau du contenu que du style. Ça me donne envie de lire Rose, son dernier roman! Ce sera pour un prochain post!

Bonne lecture!

Tsuhya

mercredi 27 juillet 2011

Légende - David Gemmell

J'ai testé il y a peu la lecture de romans sur Iphone... bien sûr pas les payants, dont je trouve les prix exorbitants pour ce que c'est... mais j'ai eu la veine d'en télécharger un via iBooks avant qu'il ne devienne payant. Je l'ai lu, je l'ai aimé, alors aujourd'hui, j'aimerais bien vous le présenter.  

L'auteur 

David Gemmell est un auteur britannique de fantasy qui a commencé sa carrière en tant que journaliste indépendant pour des journaux londoniens comme le Daily Mail, le Daily Mirror, et le Daily Express.
Légende s'avère être son premier roman, dont la première publication date de 1984. La traduction française n'arrive qu'en 2000 chez l'éditeur Bragelonne qui, devant le succès de ce best-seller, fait de régulières rééditions de l’œuvre. 
En 1986, David Gemmell décide de devenir écrivain à plein temps et sa plume ne cessera de griffonner le papier qu'à sa mort en 2006, des suites de complications post-opératoires.
David Gemmell laisse derrière lui une abondante bibliographie avec près d'une cinquantaine de romans, dont la majorité fait partie de cycles d'envergure, comme le Cycle de Drenaï ou encore Le Lion de Macédoine.


Pour la petite histoire...
La genèse de Légende remonte à 1976, lorsque les médecins crurent déceler un début de cancer chez David Gemmell. Pour s'occuper, l'auteur commença à écrire une histoire, qu'il intitula d'abord "Le Siège de Dros Delnoch". Mais il s'avéra rapidement qu'il était en bonne santé, et le manuscrit inachevé tomba dans l'oubli, jusqu'à ce qu'un ami de l'auteur s'aperçoive du potentiel de son œuvre et le pousse à poursuivre son histoire. David Gemmell changea le titre pour Légende... 

Résumé
Druss est une légende. 
Ses exploits sont connus de tous. Mais au lieu de la richesse et de la célébrité, il a choisi de vivre retiré loin des hommes, au sommet d'une montagne, avec pour seuls compagnons quelques léopards des neiges. Là, le vieux guerrier attend son ennemie de toujours, la mort.
Dros Delnoch est une forteresse.
C'est le seul endroit par lequel une armée peut traverser les montagnes. Protégée par six remparts, elle était la place forte de l'Empire drenaï. C'est maintenant leur dernier bastion, car tous les autres sont tombés devant l'envahisseur Nadir.
Son seul espoir : le vieux guerrier. 
Critique

J'ai assurément passé un bon moment en lisant ce livre, même si c'était sur Iphone... ce qui en soit n'est pas plus dérangeant que ça, en fait. L'auteur a su faire découvrir un univers original et cohérent de bout en bout. 
Le début commence sur les chapeaux de roues et annonce clairement la couleur, où l'on voit la façon particulière qu'ont les Nadirs de déclarer la guerre... Puis on rencontre Regnak, un homme qui ne veut pas revivre la guerre et qui cherche à la fuir à tout prix. Mais la rencontre qu'il va faire dans les bois va changer ses plans, pour faire de lui un héros bien malgré lui. On rencontre également les Trente, d'étranges prêtres-chevaliers pour qui la défense de Dros Delnoch est le but ultime de leur existence... Et bien sûr, il y a Druss, la légende vivante sur qui de nombreux chants ont été composés et qui compte bien livrer sa dernière bataille aux côtés des hommes de Dros Delnoch. D'autres personnages apparaissent au fur et à mesure, on s'attache à eux et on partage leur quotidien avant et pendant l'assaut des Nadirs, quotidien en soi très éprouvant. Et les batailles ont tout de l'épique.
David Gemmell arrive à mêler très adroitement les descriptions réalistes et les évènements fantastiques qui parsèment le siège de Dros Delnoch, et ça m'a franchement plu. Sa plume est vraiment plaisante à lire.
Je mets tout de même un petit bémol pour la fin du roman. Elle est vraiment trop cheap... j'ai été déçue, je m'attendais à autre chose, mais pas à ça... vous voulez savoir quoi? Lisez-le, et vous me direz quoi!

Bonne lecture!
Tsuhya





dimanche 24 juillet 2011

Pizza en la tortilla!

Honte sur moi d'avoir laissé ce blog en plan aussi longtemps! Mais je me rattrape aujourd'hui par une petite recette toute simple qui fera plaisir à tout le monde à la maison. Elle n'est pas de moi mais j'ai trouvé l'idée excellente! 
Je vous présente donc ce que je viens de nommer "la pizza en la tortilla!" (avec l'accent siouplaît). 

Cette recette est idéale car elle est facile, rapide à préparer, peut satisfaire tous les goûts et surtout la tortilla est parfaitement adaptée pour faire des portions individuelles!

Aujourd'hui, j'ai fait avec ce que j'ai trouvé dans le frigo mais vous pouvez garnir votre galette selon vos goûts, comme pour une pizza quoi!


Temps de préparation: 10-15 min
Cuisson: 180° pendant 20-25 min environ (faites selon la puissance de votre four). 
Préchauffer le four le temps de préparer les galettes.

Ingrédients
  • une galette de blé ou de maïs (dite aussi tortilla) par personne
  • des tomates pelées ou des tomates fraîches (que vous pouvez faire cuire si vous le voulez)
  • du cheddar
  • du chèvre frais
  • de l'emmental rapé
  • 1 tranche de jambon blanc par galette

Préparation
  1. Disposez vos galettes de blé sur la plaque de cuisson de votre four, où vous avez préalablement mis du papier cuisson. 
  2. Sur chaque galette, étalez la base de tomates en gardant à peu près 1 cm entre la garniture et l'extérieur de la galette.
  3. Disposez le jambon coupé en lamelles en faisant un quadrillage, parsemez l'emmental rapé puis disposez le cheddar coupé en dés, en cercle. Au centre, disposez le chèvre frais et saupoudrez-le d'herbes de Provence. 
  4. Mettez les galettes au four et laissez cuire le temps indiqué. 
C'est prêt!


Bon appétit!


Tsuhya

samedi 16 avril 2011

Le retour des bentos!

Avec le retour des cours, reviennent mes petits bentos! Bon, en fait, je triche car les derniers que j'ai faits ont été préparés à l'arrache faute de temps et de motivation, et donc je n'ai même pas pris la peine de les prendre en photo! Ceux qui se trouvent ci-dessous ont été faits avant les vacances de Noël. 

Voilà tout ce qu'on peut faire facilement en bentos froids! (et ce n'est qu'un début...!)

De gauche à droite:

Bento fromager: Salade au fromage fondu et lardons, Toasts de chèvre/miel/thym et roulés de jambon à la feta.

Cake salé, roulé de jambon au fromage frais avec chèvre et surimi, salade de maïs/tomate/mozzarella

Roulés de jambon à l'américain et tomates cerises et surimi, Salade de tomates/mozzarella/ maïs, Cake salé

Mini croque-monsieur, toast feta/tomate séchée et toast chèvre/miel thym, Salade de pousses de soja et onigiri à la prune salée, Salade de surimi/tomates - vinaigrette solidifiée à l'agar-agar (très pratique!)

Dessert: prune/carrot cake/litchies, Toasts de chèvre/miel, Mini sandwich suédois à l'américain et surimi

Lichi/pain d'épice/prune, Toast chèvre/miel et tomates cerises, Salade tomate/gimgembre

Lichis/pain d'épice/prune, Beignets de tofu et salade, Omelette/bacon et pois de wasabi

Onigiris à la prune salée, Salade feta/tomate, Omelette et vinaigrette à l'agar-agar

Salade jambon/maïs/ feta/tomate, Cake salé et roulés de jambon au fromage frais, Salade de surimi et vinaigrette à l'agar-agar

Salade tomate/gingembre, Mini-sandwichs au maroilles, chèvre et feta, Pain d'épice et lichis

Terrine de courgette/chèvre, Salade de surimi/feta/tomate, Onigiris de prune salée

Beignets de tofu, Salade de feta, Lichis/pain d'épice/prune

Feuilles de vigne, mini-sandwich à l'américain et tomates cerises, Bananes et tartine de Nutella

Tsuhya

dimanche 3 avril 2011

Brunch!

Ça faisait un bon moment que je ne m'étais pas occupée de ce petit blog... et pourtant, ces derniers temps, j'ai fait beaucoup de bons petits plats et j'ai lu pas mal de livres! Mais bon le temps me fuit, et j'ai beau courir après lui, il me manque toujours. Enfin bref, aujourd'hui, c'est décidé, entre deux trucs à ranger, je me décide à faire un petit post sur le brunch!

Quand on se lève un peu trop tard le dimanche matin, et qu'on ne sait pas, du coup, s'il vaut mieux prendre un petit déj' ou un déjeuner normal (ce qui m'arrive assez souvent)... il se trouve que le brunch est une solution qui tombe bien!
Noobette en la matière, j'en ai fait un maison aujourd'hui, pour mon chéri et moi-même...

J'ai acheté récemment un petit livre bien sympa pour faire des brunchs équilibrés (régime oblige!):


D'ailleurs, la page d'auto-promo à la fin du livre (ah ah que c'était malin de l'avoir mise là!) indique qu'il y en a d'autres comme ça... je pense que je vais craquer pour en acheter un ou deux d'ici peu!

Bref, grâce à ce livre de recettes et de conseils pour préparer un brunch équilibré, je me suis mise aux fourneaux.

Mon menu de brunch

Pour mon chéri (qui lui n'a pas besoin de faire attention! le veinard...):
  • un bol de muesli aux fruits avec du lait demi-écrémé
  • un verre de smoothie fraise/banane
  • un œuf à la coque
  • des mouillettes au sésame et aux graines de basilic
Pour moi:
  • un oeuf à la coque
  • des mouillettes au sésame et aux graines de basilic
  • de la poêlée de légumes
  • un verre de smoothie fraise/banane
  • un verre d'eau
  • un chocolat chaud à base de stévia (qui s'appelle Nutrichoco, qui vient de la Maison du Stévia et que ma diététicienne trouve bien!)
et une petite photo pour illustrer tout ça!
Le smoothie fraise/banane
4 personnes
  • 300g de fraises
  • 1 banane mûre
  • 1 verre de lait demi-écrémé
  • 1 verre d'eau fraîche
  1. Lavez les fraises et équeutez-les, puis coupez-les en 2. Épluchez la banane et coupez-la en rondelles.
  2. Mettez les fruits dans un blender. Ajouter le lait, puis l'eau. Mixez bien pour obtenir une préparation bien lisse et homogène. 
Dans le livre, ils conseillent de le laisser au frais pendant une heure, mais nous l'avons consommé tel quel et ça allait très bien! Donc, à vous de choisir, selon vos préférences.
De plus, vous pouvez rajoutez une à deux cuillères à café de sucre éventuellement, ou une cuillère dosette de stévia, si vous sentez, comme moi, que ça manque.

Les mouillettes au sésame et aux graines de basilic
4 personnes
  • 1 pâte feuilletée à dérouler
  • 1 oeuf
  • des graines de sésame doré
  • des graines noires de basilic (j'ai trouvé ça chez Tang Frères à Paris...)
Étirez la pâte feuilletée sur un plan de travail fariné (ou vous laissez le papier sulfurisé auquel elle est collée et vous posez le tout sur votre plaque de four).
 Faites préchauffer le four à 180°C (th.6).
Découpez la pâte feuilletée en lamelles de 1 cm d'épaisseur, puis le diamètre de la pâte horizontalement. 
Torsadez chaque lamelle. Veillez à bien espacer vos mouillettes, sinon elles vont se coller entre elles pendant la cuisson.
Battez l'œuf dans un bol et badigeonnez-en les mouilletes à l'aide d'un pinceau.

Saupoudrez une partie des mouillettes avec les graines de sésame et l'autre moitié avec les graines de basilic.

Enfournez les mouillettes pour environ 10 min de cuisson. Elles doivent avoir une jolie couleur dorée une fois cuites. Il se peut que certaines soient encore molles à la sortie du four, mais ça n'empêche pas que ce soit délicieux!

Si ça vous dit, vous pouvez ajoutez des tranches de jambon de Parme, de jambon blanc ou de bacon autour des mouillettes.
Et avec l'œuf à la coque, c'est vraiment très, très bon!

Enfin voilà, c'est décidé, chaque dimanche, ce sera brunch chez les Ch'tis! :p

Bon appétit!
Tsuhya

lundi 14 février 2011

I ♥ Carrot Cake

Aaah le Carrot Cake, c'est une récente mais intense histoire d'amour entre lui et moi! Je crois savoir que de nombreux adeptes de ce délicieux gâteau attendaient ma recette avec impatience! Plutôt que de la garder jalousement pour moi toute seule, je préfère vous en faire profiter!

Vous êtes prêts? A vos fourneaux!


Carrot Cake
8 personnes

  • 275 g de carottes (correspond à environ 5 à 6 carottes moyennes, poids épluchées et râpées)
  • 175 g d’amandes en poudre (ou 125g d’amandes + 50g de pralin)
  • 50g de noix de pécan hachées (ou des noix, des amandes, mais les noisettes c'est pas le plus génial, c'est trop fort)
  • 4 œufs
  • 80 g de farine
  • 175 g de sucre blond ou roux
  • 1 sachet de levure chimique
  • ½ c. à café de sel
  • 1 citron (ou 6 c. à soupe de jus de citron tout fait)
  • 1 c. à café rase de cannelle en poudre
  • ½ c. à café de gingembre en poudre
  • 10 g de beurre pour le moule
  1. Travailler les jaunes d’œufs et le sucre jusqu’à ce qu’ils blanchissent et deviennent mousseux.  Réserver. Réserver aussi les blancs d’œufs pour plus tard, au frigo.
  2. Dans un récipient différent, mélanger les ingrédients secs : farine, sel, levure, amandes, noix de pécan, cannelle, gingembre. Puis ajouter les carottes finement râpées et le jus de citron.
  3. Ajouter la première préparation d’œufs et sucre et bien mélanger. Puis, monter les blancs en neige et incorporez-les délicatement à la préparation.
  4. Beurrer largement le(s) moule(s) et y verser la préparation. Enfourner et cuire à 180° C pendant 50 minutes/ 1h (moins si vous utilisez deux petits moules). Lorsque le gâteau est cuit, démoulez-le sur une grille et laissez-le refroidir. Le plus important est de le faire doucement, au besoin baisser le thermostat et prolonger le temps de cuisson.
Glaçage au blanc d’œuf (mon préféré!)

Fouettez 1 blanc d’œuf avec 175 g de sucre glace et 3 cl de jus de citron (3 cuillères à soupe). Lorsque la consistance est homogène et un peu mousseuse, versez le glaçage sur le gâteau en laissant couler sur les bords. Egalisez à l’aide d’une spatule et laisser sécher au moins 12h.

Je vous donne aussi l'autre glaçage, si jamais vous voulez essayer:

Glaçage américain au Cream Cheese

Battez 50 g de beurre très mou (mais pas fondu) avec  175 g de sucre glace et quelques gouttes d’extrait de citron (arôme naturel).
Ajoutez 100 g de fromage frais type Saint Moret (non allégé).
Homogénéisez rapidement au fouet sans trop battre pour ne pas rendre le mélange excessivement liquide.
Etalez sur le gâteau et faites prendre au frigo au moins 12h. Gardez le gâteau au frais jusqu’à ce qu’il soit fini. 

Et pour illustrer cette petite recette, voici les photos de différents Carrot Cake que j'ai fait pour mes proches:
 

Le premier d'une longue série!

Un Carrot Cake dans un moule en forme de carotte! :)

Là, j'avais bien réussi le glaçage... mais le sucre glace avait un goût étrange ^^"


Devinez qui a encore tout fini?
Petits cakes faits pour ma promo à Noël (merci Vio pour la photo ^^)
Bonne dégustation 

Tsuhya

dimanche 6 février 2011

Gâteau au Nutella-Coco et son Coulis de Kiwi

J'avais cinq pauvres petits kiwis qui traînaient dans ma panière à fruits et dont je ne savais pas quoi faire. Et puis, je me suis rappelée que, l'autre jour, dans un restaurant de Savoie, j'avais goûté un fameux nougat glacé avec, entre autres, son coulis de kiwi.

En voilà une bonne idée!... Avec quoi ça pourrait bien se marier? Du gâteau au chocolat!

Mais arrivée devant mon placard, je vois le gros pot de Nutella qui me fait de l'œil... bon d'accord... ce sera un gâteau au Nutella! Génial, je n'en ai jamais fait!... Bon, ok,  c'est pas ce qu'il y a de plus diététique, mais le Nutella, je ne résiste pas!

Alors pour le gâteau au Nutella, j'ai commencé à faire des recherches sur Internet... pour finalement n'en faire qu'à ma tête, comme d'habitude. Au passage, je suis quand même tombée sur un site qui m'a paru vraiment pas mal, et original. Voici l'adresse: http://gateau.com/

Pour rester dans le thème, les mesures seront données en "verre Nutella" (les pots de 220g).

Ingrédients pour le gâteau au Nutella et à la Noix de Coco
  • 4 généreuses cuillères à soupe de Nutella 
  • 1,5 verre de farine
  • 1 verre de lait
  • 3/4 d'un verre de sucre roux
  • 1 demi sachet de levure chimique 
  • 50g de beurre allégé
  • 2 oeufs
  • 1 demi verre de poudre coco
  • 1 pincée de sel
Préparation
  1. Mélanger tous les ingrédients secs ensemble: farine, sucre, levure, sel. Puis ajouter au mélange: l'œuf, l'huile et le beurre ramolli.
  2. Ajouter le lait et le Nutella par petites doses tout en continuant à remuer, jusqu'à obtenir un mélange homogène.
  3. Préchauffer votre four à 180°C (200-220 si vous avez un mini-four). Beurrer votre moule à cake, ou si vous avez, dans de petits moules à cake en silicone, pour faire des parts individuelles.
  4. Faire cuire 30 minutes environ.

Ingrédients pour le coulis de kiwi
  • 5 kiwis
  • 1 verre d'eau
  • 1/4 verre de sucre roux
  • 6 à 8 cuillères à soupe de jus de citron jaune (ou du citron frais si vous avez la chance d'en avoir!)
Préparation
  1. Dans un blender, couper les kiwis en morceaux. 
  2. Ajouter les autres ingrédients, puis mixer le tout.

Et si vous avez tout bien fait, ça devrait donner ça:


Attention toutefois! Ce gâteau est un traître! Il est plein de "mauvaises choses" (sucre, beurre, et tutti quanti) et pourtant, il paraît léger, si léger que vous ne vous culpabiliserez pas d'en prendre une deuxième fois! Et le coulis de kiwi est très rafraîchissant, miam!

Recette maison validée de mon côté, j'en referai :)

Bonne dégustation!

Tsuhya

lundi 31 janvier 2011

Rouge

J'ai enfin remis la main sur cette foutue feuille volante, sur laquelle j'avais écrit ma critique de Rouge, roman de Kristin Cashore, que j'ai récupéré cet été en stage, et lu depuis un petit moment déjà. Mais comme je l'ai bien aimé, je vous le présente. 

L'auteure, Kristin Cashore, est née en Pennsylvanie il y a un peu plus de trente ans. C'est une jeune auteure de fantasy qui a publié son premier livre, Graceling,  en 2008 aux États-Unis (paru en 2009 en France chez Orbit), et qui a dès le début suscité l'engouement du public. Son deuxième roman, celui que j'ai lu et qui s'intitule simplement Rouge (Fire en V.O.) est sorti en 2010 en France. Un troisième roman est prévu pour 2011, et qui aura pour titre Bitterblue.

Voici un petit résumé:

Rouge n'est pas belle. Elle est sublime et elle peut contrôler les esprits, des qualités qui attisent la passion comme la haine. Aussi a-t-elle choisi de vivre à l'écart du monde. Mais des seigneurs rebelles ont rassemblé des armées et s'apprêtent à marcher contre le royaume des Dells. Rouge peut le sauver... à condition d'affronter les ombres du passé et des ennemis déterminés à l'anéantir.
La beauté est une arme, et Rouge va s'en servir.
Quand on lit ce résumé au dos du livre, on ne sait pas trop de quoi ça va parler, et surtout, on ignore dans quel monde on va entrer. Mais, dès les premiers mots, j'ai été immergée dans l'univers singulier de Rouge. À chaque fois que je me plongeais dans cette histoire, j'avais l'impression de retourner dans un monde "réel", un peu médiéval, exotique mais aussi cohérent, bien construit. L'appel à l'imaginaire est très fort, que ce soit par les descriptions ou les évènements que l'auteur nous offre.

Rouge vit dans un pays où il y a des gens et des animaux normaux, tout ce qu'il y a de plus banal, mais aussi des créatures étranges, semblables aux êtres normaux, à une exception près: ce sont des "monstres". Les monstres, qui peuvent donc être humains ou animaux (et même plantes il me semble), sont appelés ainsi par les gens normaux car ils sont magnifiques, éblouissants, d'une beauté parfaite mais aussi mortellement dangereux et manipulateurs, même entre eux. Ils ont des pouvoirs psychiques qui, si l'on n'a pas développé de barrière mentale, peuvent vous transformer en marionnette qu'ils finiront par dévorer. Rouge est le dernier monstre humain connu au royaume de Dells. Mais en tant qu'humaine, elle est capable de contrôler ses pouvoirs, et ne veut pas les utiliser contre autrui. Étant la seule représentante de son espèce, elle se cherche et tente de trouver un but à sa vie.

L'histoire commence par un prologue, très différent du reste du livre, et l'on ne comprend son intérêt que bien plus tard dans l'histoire. En bref, la première moitié m'a beaucoup plu car elle est très immersive, cohérente et bien construite. Mais la deuxième partie, même si elle reste très plaisante à lire, m'a un peu déçue. Un passage en particulier m'a pas mal perturbée. Il faudrait limite que je le relise, parce que je ne suis pas sûre d'avoir tout compris... Sans dévoiler l'intrigue pour autant, je vais essayer de préciser mon propos. L'héroïne, Rouge, se retrouve seule en forêt. Le méchant l'a suivie et tente de se servir d'elle pour asservir le pays. La discussion s'envenime et là, "paf", le méchant meurt d'une façon totalement ridicule... alors que jusque là, niveau ruse et calculs diaboliques, il avait été très fort! (un vrai méchant quoi). Le passage était prenant et tout, jusqu'à ce qu'on arrive à cette conclusion grotesque. Ce n'est pas la fin du livre mais j'avoue, qu'après ça, j'ai trouvé la suite un peu plus fade. Je suis restée sur ma faim, et j'ai été dépitée par la tournure des évènements...

Mais pour finir sur une note positive, c'est globalement un bon livre, j'ai passé un bon moment quand je l'ai lu. L'univers très singulier et original (de mon point de vue) mérite le détour même si certains passages sont un peu faibles et nuisent légèrement à l'atmosphère de ce livre.

Bonne lecture!

Tsuhya

jeudi 27 janvier 2011

Samoussas de porc au saté

Voilà une petite recette simple et délicieuse! Pour la confection des samoussas, je vous ferai un beau tutoriel avec des photos quand j'aurai le temps! En entendant, il faudra se contenter du petit schéma ci-dessous!

Ingrédients

  • 250g de chair à saucisse
  • 1 petit oignon blanc
  • de la menthe (feuilles fraîches ou séchées)
  • du saté
Préparation
  1. Faire revenir l'oignon émincé dans une poêle avec un peu d'huile.
  2. Ajouter la chair à saucisse et faire cuire l'ensemble en remuant fréquemment.
  3. Ajouter la menthe selon votre convenance, ainsi que le saté, une fois la viande cuite. Bien mélanger.
  4. Laisser cuire environ 5 minutes.
  5. Faire les samoussas (voir le schéma)
  6. Faire dorer quelques minutes les samoussas sur chaque face, dans une poêle.

Bon appétit!

Tsuhya

dimanche 23 janvier 2011

Elle s'appelait Sarah

J'aimerais vous présenter un livre, dont vous avez forcément entendu parler car il a été récemment adapté au cinéma. Je l'ai vu d'ailleurs, mais j'ai découvert que c'était avant tout un roman... que je me suis empressée d'acheter avant de voir le film! 

D'abord un mot sur l'auteur - Tatiana de Rosnay
Franco-britannique, Tatiana de Rosnay est née le 28 septembre 1961 en banlieue parisienne. Elle collabore au magazine Elle et au Journal du dimanche. Elle s'appelait Sarah, le premier roman qu'elle a rédigé en anglais, l'a fait connaître dans le monde entier, notamment aux Etats-Unis. Trente-quatre pays en ont acheté les droits. Tatiana de Rosnay est aujourd'hui l'auteur français le plus lu en Europe et aux Etats-Unis.
(Extrait du livre Elle s'appelait Sarah, Le livre de Poche, 2010)

Paru en 2006 dans sa version originale (anglais) sous le titre de Sarah's Key, il a été traduit et publié en français en 2007, sous le titre Elle s'appelait Sarah, aux éditions Héloïse d'Ormesson, coll. Livre de Poche. La réédition de 2010 a une nouvelle couverture (celle de l'affiche du film) ainsi que des images du film et une interview de Serge Joncour (scénariste du film) et Tatiana de Rosnay.

Résumé
L'histoire commence à Paris, en juillet 1942. Sarah, une fillette de dix ans qui porte l'étoile jaune, est arrêtée avec ses parents par la police française, au milieu de la nuit. Paniquée, elle met son petit frère à l'abri en lui promettant de revenir le libérer dès que possible.
Paris, mai 2002, Julia Jarmond, une journaliste américaine mariée à un Français, doit couvrir la commémoration de la rafle du Vél d'Hiv. Soixante après, son chemin va croiser celui de Sarah, et sa vie  va changer à jamais. 

Mon avis

Cette histoire m'a beaucoup plu et m'a beaucoup touchée. Les personnages sont attachants et réalistes, l'intrigue est bien menée, avec une alternance entre le présent de Sarah et le présent de Julia. Peu à peu, les fils se dénouent et nous mènent vers une résolution forte en émotion. Après avoir lu les dernières lignes et refermé le roman, une grande tristesse m'a envahit au souvenir de tout ce que je venais de lire. J'en avais la gorge nouée.

J'aime particulièrement ce genre de roman, basé sur des faits historiques, et en particulier ceux de la guerre de 1939-45. Julia est non seulement effarée quand elle découvre cet épisode très sombre et peu glorieux de l'Histoire de la France, mais aussi que ce dernier ne suscite qu'ignorance ou indifférence autour d'elle. J'étais aussi révoltée qu'elle, parce que je me doute déjà qu'on n'est pas loin de la vérité, et surtout car le devoir de mémoire est absolument primordial à mes yeux. On doit se souvenir. On se le doit à soi-même pour ne jamais oublier l'horreur (même si on ne l'a pas connue). Et on le doit aux générations futures. 
Je déteste entendre certaines personnes dire, quand on approche des dates de commémoration (de la guerre, de la Shoah, ...): "Ils sont chiants à nous parler de la guerre, des Juifs, c'est bon, c'est du passé! Ils nous bassinent chaque année avec ces conneries!" (Ce n'est pas le discours de quelqu'un en particulier mais dans l'idée, on s'en rapproche). J'aimerais leur foutre un taquet entre les deux oreilles pour leur apprendre à dire des conneries à ceux-là... enfin bref, je m'égare.

L'histoire de Sarah, c'est l'histoire de beaucoup d'enfants de la guerre. Ceux qui ont survécu en sont sorti brisés, marqués à vie, et ayant très souvent perdu tous ceux qu'ils aimaient. Cette réalité est effrayante. Cela m'attriste profondément à chaque fois que j'y pense. 
De plus, je connais bien certains lieux décrits pas l'histoire. Il y a quelques mois, et là à nouveau depuis peu, j'ai eu l'occasion de passer devant ce qu'a été le Vel d'Hiv, rue Nélaton. A chaque fois que je passe, j'ai des frissons dans le dos. A la place de l'ancien vélodrome, je vois tous les jours l'hideux Ministère de l'Intérieur qui l'a remplacé. Comme dit Julia, c'est plutôt ironique...

Un petit mot sur le film

Il est plutôt fidèle, même si les évènements sont déplacés en 2009 alors que dans le livre c'est 2002.

Dans le livre, Julia ne connaissait pas l'histoire du Vel d'Hiv, alors qu'ici, elle la connaît déjà. C'est un peu décevant qu'ils aient pris cette perspective, car, dans le livre, l'intérêt est de découvrir avec Julia ce qui s'est passé, à travers Sarah.
Mais à part ce point, c'est un très bon film, qui retranscrit bien l'émotion ressentie dans le livre face à ce drame. J'ai été très émue, d'une part parce que c'était intense et parce que, malgré le fait que je sache ce qui s'est passé, je prends toujours ça de plein fouet, comme si je le découvrais... et encore plus quand ce sont des images qui défilent devant mes yeux, et pas seulement dans ma tête.

Je conseille de tout coeur ce roman. Et j'espère que, comme moi et Julia, vous en sortirez changés. 

Bonne lecture

Tsuhya

dimanche 9 janvier 2011

J'aime la Galette...

Savez-vous comment ? Quand elle est à la frangipane avec peu de beurre dedans ! 

Début d’année rime avec galette des rois. Chaque année, depuis 4 ans, j’en fais une pour mon entourage, exception faite de l’an dernier, puisque je faisais mon régime. Ce qui fait que je ne me souvenais plus de la recette d’avant… et je ne l’ai pas retrouvée !

Mais bon, ce n’est pas grave en soi, parce qu’on trouve des tas de recettes de galettes sur Internet. Pour confectionner ma galette des rois, je me suis inspirée de l’une de ces recettes, qui semblait coller à ce que je me souvenais devoir faire. 

Je l’ai modifiée en proportions car je voulais éviter qu’elle soit grasse et aussi parce que je n’ai pas pu m’empêcher de mettre de la stévia !!

Voici ma recette :




Ingrédients :

Pour 6 à 8 personnes

  • 2 pâtes feuilletées (moi je les achète toutes prêtes, parce que trop la flemme…)
  • 2 œufs moyens
  • 125 g d’amandes en poudre
  • 50 g de beurre ramolli (pour rester dans le léger, je vous conseille du beurre à 15% de MGs)
  • 60 g de sucre roux + 1 cuillère dosette ou 1/3 cuillère à café rases de stévia (qui équivaut à 40 g de sucre)
  • 1 cuillère à soupe de farine (pour absorber le beurre)
  • 1 cuillère à soupe de kirsch (ça marche avec le rhum aussi, mais personnellement, j’ai toujours préféré le kirsch pour la frangipane)
  • Un peu de lait
  • 1 fève
Pour le fun, j’ai aussi ajouté ½ cuillère à soupe de fleur d’oranger, mais je ne suis pas sûre que ça ait changé grand-chose au goût…

Préparation

  1. Pour la frangipane : dans un récipient, mettre la poudre d’amandes et le sucre-stévia. Ajouter un œuf et un blanc d’œuf, ainsi que le beurre ramolli. Conserver le jaune d’œuf pour dorer la galette. Bien remuer pour obtenir une pâte assez homogène. Ajouter la farine et le kirsch. Remuer une nouvelle fois.
  2. Dérouler une pâte feuilletée sur une plaque ou dans un moule à manqué, en laissant le papier cuisson. Étaler la frangipane uniformément, en laissant un espace entre elle et le bord de la pâte. Déposer la fève et bien l’enfoncer dans la frangipane (si possible recouvrez-la carrément, qu'on ne la voit plus!).
  3. Retirer le papier cuisson de la seconde pâte feuilletée et recouvrir la galette avec celle-ci. Souder les bords, soit en appuyant dessus, soit en enroulant les deux bords vers l’intérieur. Si nécessaire utiliser un peu d’eau ou des blancs d’œufs.
  4. Avec la pointe d'un couteau, faire un trou au centre de la galette (cela évite qu’elle gonfle n’importe comment) et, de façon à peine appuyée, tracer des lignes horizontales et verticales (suivant l’inclinaison vous obtiendrez des carrés ou des losanges). Si vous vous sentez l’âme d’un artiste, vous pouvez essayer de faire une rosace, des dessins géométriques, etc.
  5. Badigeonner, à l’aide d’un pinceau, le dessus de la galette avec le jaune d’œuf, que vous aurez préalablement mélangé avec un peu de lait.
  6. Enfourner 20-30 minutes dans le four, préchauffé à 200°C. L’essentiel, pour qu’elle ne dore pas trop vite et donne l’impression d’être cramée, c’est de la laisser cuire doucement et lentement. Si vous avez un four un peu fort, n’hésitez pas à descendre de quelques degrés et de rallonger de quelques minutes la cuisson.
Et voilà, une galette légère et facile à faire! Servez tiède ou froid. Si c’est chaud, le beurre de la galette ressort et c’est écœurant ! Donc patientez bien pour savourer votre galette, elle n’en sera que meilleure !
 
Bonne dégustation !
Tsuhya